| Titre : |
La bonne fortune de Gustave Dubar, directeur de L'Echo du Nord |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Jean-Paul VISSE, Auteur |
| Editeur : |
Archives départementales du Nord |
| Année de publication : |
2018 |
| Collection : |
Commission historique du Nord, ISSN 1140-7387 num. 58 |
| Note générale : |
Étonnante ascension que celle de Gustave Dubar. Né à Lille dans un milieu modeste, il se hausse au sommet de la grande bourgeoisie lilloise, celle qui possède le pouvoir économique et le pouvoir social. Employé au Comité linier, il entre après bien des hésitations, comme rédacteur économique à l'Echo du Nord qui bénéficie d'une bonne réputation morale. Il en devient le directeur et le principal actionnaire. Menant une politique d'investissements à bon escient et suivant une orientation politique modérée, il en fait le journal le plus lu de la région.
L'homme se revendique économiste. Il est membre actif, voire fondateur de nombreuses associations, Société industrielle du Nord, Société des agriculteurs, Comité linier..., et devient président du conseil d'administration du Crédit du Nord.
À sa mort, en février 1921, il s'est élevé aux plus hauts sommets de la fortune et de la notoriété et une grande partie de la classe politique et journalistique se presse à ses funérailles. Il transmet à l'un de ses fils, Jean Dubar, l'un des premiers quotidiens régionaux. |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
1.1.2 Histoire de la presse écrite
7.21 Presse locale
|
| Mots-clés : |
Hippolyte Verly','Emile Ferré |
| Index. décimale : |
37 300 Histoire de la presse |
La bonne fortune de Gustave Dubar, directeur de L'Echo du Nord [texte imprimé] / Jean-Paul VISSE, Auteur . - [S.l.] : Archives départementales du Nord, 2018. - ( Commission historique du Nord, ISSN 1140-7387; 58) . Étonnante ascension que celle de Gustave Dubar. Né à Lille dans un milieu modeste, il se hausse au sommet de la grande bourgeoisie lilloise, celle qui possède le pouvoir économique et le pouvoir social. Employé au Comité linier, il entre après bien des hésitations, comme rédacteur économique à l'Echo du Nord qui bénéficie d'une bonne réputation morale. Il en devient le directeur et le principal actionnaire. Menant une politique d'investissements à bon escient et suivant une orientation politique modérée, il en fait le journal le plus lu de la région.
L'homme se revendique économiste. Il est membre actif, voire fondateur de nombreuses associations, Société industrielle du Nord, Société des agriculteurs, Comité linier..., et devient président du conseil d'administration du Crédit du Nord.
À sa mort, en février 1921, il s'est élevé aux plus hauts sommets de la fortune et de la notoriété et une grande partie de la classe politique et journalistique se presse à ses funérailles. Il transmet à l'un de ses fils, Jean Dubar, l'un des premiers quotidiens régionaux. Langues : Français ( fre) |  |
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